Tes artères pulsent d’un sang pourpre
Dans mes veines coule une eau transparente
Tes lèvres mordent une colère de tendresse
Ma langue virevolte de tristesses en désirs
Tes membres se tendent en caresses de fer
Mes chairs se faufilent en serpents de charme
Ta bouche en calice assoiffé
Mon sexe en puit sans fin
Ton sexe en glaive de paix
Mes genoux pliés en obéissance
Ton rugissement en défi
Mes soupirs en abandon
De ta cruauté je m’apaise
Dans mes illusions tu t’échappes
Animal blessé
sous ma peau tu glisses tes mains
Tu me portes
Tu me tiens
Âme errante
à ton corps mes doigts s’agrippent
Je te crois
Je te prédis
ar // 15.11.17
« Je te prédis », on est en attente d’un complément, d’une association manquante… Peut-on prédire ce que l’autre va donner ou bien choisissons-nous cet autre dans ce qu’il a de profondément prévisible ? On aime savoir ce que l’autre donne, prend, choisit de retirer. On aime savoir ce que l’autre donne à sentir au point que la surprise soit corrompue par le désir qui aime à voir s’accomplir ce qui est attendu.
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merci, voilà une lecture éclairée de cette phrase en décalage. Est-il possible de pré-dire quelqu’un ? N’y a-t-il pas dans ce mot quelque chose qui relève plus de l’intuition que de l’attente ? Ah, comme j’aime les mots quand ils se contredisent…
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Bonsoir ou bonjour mon ami (ie)
Regarde un peu la lune
Là haut dans le ciel
Son sourire est celui que je t’adresse
Regardes les étoiles
Ces gouttes de miel
Ce sont tous mes bisous pour, toi
Qui retombent en pluie
Je te souhaite une bonne soirée
Suivie d’une douce nuit
Regarde un peu , là haut dans le ciel
C’est une partie de moi
Avec mon sourire quand tout vas bien
Ce jour je me sens bien alors je profite de m’arrêter chez toi
Je t’adresse tous mes bisous D amitié
Comme des rayons de soleil
Qui viennent réchauffer ta demeure
Gros bisous BERNARD
Une image de tendresse belle journée
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