dévorée

A nos vices enjoués
A nos obsessions acharnées
A nos chaires incendiées
A nos cœurs disséqués
A nos romances étranglées

A l’absence
A l’essence
A l’évidence

ar

 

« obsession pour obsession, l’érotique vaut mieux que l’idéologique, elle est autrement sérieuse »
L’agression (1977) // Konrad Zacharias Lorenz

 

3 réflexions sur “dévorée

  1. Vous écrivez, donc,

    Ce qui semble là, automatique,

    en jets,

    on y perçois une forme/sorte de bégaiement,

    Comme un moteur/coeur qui aurait des ratées,

    Avec la seule assurance du Chemin….

    Là, encore, à essayer d’ex-plorer,

    A l’aune de probables vécus et autres expériences…..

    J’aime

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