Il y a des ils et il y a lui. Lui, je l’ai vu Empereur. Son règne est redoutable. Il y a un aigle au dessus de lui. Son œil est perçant et critique. Il tourne en cercles dans mon ciel.
Je reste là, inquiète et immobile. Dans l’espace qui nous sépare je laisse voler mes évidences. Il ne reste que la peur et le désir. Je serai sa proie s’il me choisit.
Accessible.
Femme.
Pourvu qu’il s’éloigne.
Notre corps est vaste comme la mer. Notre désir infini comme le ciel.
Régine Deforges
C’est beau …
Fred
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Est ce un aveux ?
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Il faudrait qu’il y ait un crime pour qu’un aveu soit lâché. Rien à avouer !
J’aime surtout jouer avec les contradictions du désir. Tout ceci n’est qu’une illusion, un conte. Bonne journée.
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À mon sens l’ avoeux en amour est juste une reconnaissance de l’autre comme celle des vassaux par leur seigneur.
J’aime beaucoup votre approche et votre style d’écriture dans vos fictions. Excellente journée
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On est en plein René char, là, très étonnant, voire surprenant…….
Dites-moi ce qu’il en est, j’en suis curieux!
Plus surprenant encre de voir évoquée l' »Illusion »!!!
« Contradictions », passe encore!
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j’avoue – au risque de vous décevoir – que je ne vois pas ce que vous me demandez, à vrai dire ! Que cherchez-vous à comprendre ? Je vous propose – si vous le désirez bien sûr – de continuer cet échange par messages personnels, vous trouverez mon contact sous : https://carnetsdedestinees.wordpress.com/contact/
Belle soirée. ar
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